Des vidéos témoignages de jeunes
15 jeunes témoignent de leur besoin d’éprouver la vie !
A travers leurs expériences d’engagement, ils racontent le dépassement de soi et l’entraide.
« A 15 ans, tu réfléchis, tu commences à travailler, tu commences ta vie, tu prépares ton avenir dans la société. C’est là qu’il faut nous proposer des choses, des projets, à comprendre ce qu’est la société, le partage », Madoumbe.
« Nous les jeunes on n’est pas sollicités pour grand-chose alors qu’on a besoin de se sentir utile pour la société », Mylène.
« Dans ces cas-là, on se dit qu’on sert à quelque chose, qu’on ne fait pas les choses juste pour nous mais pour tout le monde », Hala.
Retours d’adultes sur les besoins des jeunes
Une relation de confiance, parler des vulnérabilités de chacun, transmettre des expériences de vie, rechercher l’excellence…
« J’ai constaté que les jeunes développaient très naturellement, très spontanément, un vrai potentiel de citoyenneté. Trop souvent, trop longtemps, on l’a sous-évalué nous les adultes. Comme s’il y avait un manque de confiance », Colonel Gladieux
« Ce rapport de confiance il est vraiment très important. Du coup on est sans arrêt sur cette recherche de les mener vers le haut », Ludovic Legrand
« On peut leur transmettre quelque part un témoin. C’est-à-dire qu’on a été jeune aussi et dans notre jeunesse on se cherchait un petit peu », Jean-François Lennknegt
Quand l’esprit d’équipe permet à chacun de prendre sa juste place.
Témoignages de 3 jeunes en service civique chez les pompiers et d’un capitaine.
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« L’esprit d’équipe c’est important parce qu’on n’est pas tous leaders. Il en faut, mais il faut aussi des gens qui ne le sont pas. Et c’est justement cette diversité de compétences qui va faire la force de l’équipe. Ça se prépare et faut construire des liens de confiance, au sein du centre de secours. C’est important pour un pompier de pouvoir se retourner, dans un fourgon, lorsqu’on part au feu, et d’être sûr que les personnels vont faire exactement ce qu’on leur demande, au profit du service à la population. Donc cet esprit d’équipe qui devient une famille », capitaine Laurent Richez
4 jeunes partagent leur expérience du Service National Universel (SNU)
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« On était les 1ers représentants, on représentait une jeunesse. Et on nous prenait enfin en compte », Typhaine.
« Sous le drapeau, tous rassemblés et habillés pareil à chanter la Marseillaise à l’unisson, tout le monde comprend le ressenti que ça fait : la fierté ! Ça veut dire qu’on est tous français, peu importe d’où on vient, qui on est… on est reliés aux autres », Augustin
« C’était différent aussi par rapport à chez nos parents. On a dû s’adapter et s’organiser tout seul », Maxime
« J’ai même porté et levé le drapeau. J’avais vraiment le sentiment d’appartenir à cette nation. C’était super fort ! J’aime mon pays, même si c’est pas le meilleur. Mais il n’y a pas de bon pays », Hugo